Anatomie d’un scandale est un très bon roman, impossible à lâcher. Dans une alternance de points de vue (la femme trompée, le mari adultère, l’avocate de la maîtresse…), on assiste à la dissection en règle d’un scandale sexuel qui éclabousse la classe politique britannique.
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Autant le dire tout de suite, je n’ai pas aimé Arcadie. L’ambiance malsaine qui s’en dégage m’a pesé de bout en bout.
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Il y a toute l’âme du Sud des Etats-Unis dans ce 4e ouvrage de Jesmyn Ward. La touffeur du Mississippi, l’esclavage, les champs de coton, la prison de Parchman, la misère… On sent les traumatismes passés qui pèsent indéniablement sur les vivants et l’impossibilité de ces derniers d’ignorer le chant des revenants. Un beau roman, lyrique et profond.
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Dans Pirate N°7, Elise Arfi raconte son engagement auprès de Fahran, jeune pirate somalien dont elle s’est retrouvée par hasard l’avocate commise d’office, et dont elle va peu à peu devenir le « substitut affectif ». Voire un « témoin de son enfer ». Car Fahran va vivre l’enfer dans les prisons françaises, au point de devenir fou. Court et percutant, Pirate N°7 dépeint de façon précise, accablante, les rouages de cette machine à broyer.
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Tout le monde connaît Simone Veil, sa vie, ses combats. On connaît moins ses sœurs, Denise et Milou. Toutes trois ont été déportées : à Auschwitz et Bergen-Belsen pour Simone et Milou, à Ravensbrück pour Denise.
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« Je suis autiste Asperger. Ce n’est pas une maladie, je vous rassure. C’est une différence ». Ainsi commence le roman d’Olivier Liron. Dès le départ, je sais que ce n’est pas un livre comme les autres et qu’il va me toucher par son sujet. Einstein, le sexe et moi est un roman à la fois drôle et sérieux, cruel et léger. Peut-être pas si léger que cela d’ailleurs…
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Rana Ahmad livre un témoignage saisissant sur la vie des femmes en Arabie Saoudite et sur la façon dont elle a, très tôt, pris conscience qu’elle n’avait aucune valeur en tant que femme, dans la société saoudienne.
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Au début des années 20, un tribunal bolchévique décide d’assigner à résidence le comte Alexandre Ilitch Rostov dans un luxueux hôtel de Moscou : le Métropol. Il y demeurera trois décennies et verra passer l’histoire de l’URSS derrière les grandes baies vitrées.
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