Après avoir lu les chroniques écrites en prison par Ahmet Altan (Je ne reverrai plus le monde, Actes Sud), me voilà à nouveau à Istanbul avec le deuxième ouvrage du documentariste Samuel Aubin, Istanbul à jamais (paru également chez Actes Sud, juste avant le confinement).
Ce roman est une déclaration d’amour à Istanbul. Ses paysages, ses saveurs, sa musique, sa lumière, son ambiance, ses chats, ses goélands… Tout y est.
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Après avoir lu Le bruit des clés en décembre dernier, j’ai été ravie de retrouver Anne Goscinny et son père, René, dans le dernier roman graphique de Catel. Sur la couverture, Anne, devenue adulte, fait face à son père depuis longtemps disparu, et ils échangent un regard complice. La douceur de ce regard donne le ton de l’ouvrage, que j’ai beaucoup aimé.
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Voici un roman que je n’ai pas apprécié, que j’ai failli abandonner à plusieurs reprises, et que je n’aurais vraisemblablement jamais lu si je n’avais pas été jurée pour le Prix du Meilleur Roman POINTS 2020. La 4e de couverture, déjà, ne m’avait pas séduite.
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J’ai découvert Rupi Kaur sur Instagram il y a plusieurs années. Post après post, sa poésie, la simplicité de ses mots, ses mantras résonnaient en moi, touchaient au plus juste. Il y a quelques mois je me suis offert son premier recueil, Milk and Honey, et c’est ce week-end que je l’ai enfin ouvert. Merveille.
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